Délibérations des réunions du conseil municipal
Vers la fin de l'année 1920, suite à discussion en conseil municipal, sont nommés membres de la commission chargée d'étudier le projet d'un lavoir public messieurs Boisset, Chevallier et Robert.
Bien plus tard à la séance du 20 novembre 1921, et inscrit à l'ordre du jour, le maire Louis Carrier informe le conseil qu'il a reçu de Mr le Préfet un arrêté en date du 11 novembre 1921 approuvant la délibération du 24 juillet dernier par laquelle le conseil municipal à autoriser le maire à acquérir de madame veuve Carret, moyennant le prix de 5000 francs outre les charges une parcelle de terrain en vue de la construction d'un lavoir public.
Le 12 janvier 1922, monsieur le maire Louis Carrier informe le conseil que toutes les formalités relatives à l'achat du terrain appartenant à madame veuve Carret sont terminées et qu'il faut absolument construire en 1922 le lavoir réclamé par la population, qu'il y a lieu d'en faire dresser les plans et devis par monsieur Géranton, agent voyeur cantonal, qui connaît les lieux et invite l'assemblée à délibérer ;
Le conseil, après avoir entendu les explications de son président,
considérant que depuis longtemps la population du bourg réclame un lavoir public,
invite son président à écrire à monsieur l'agent voyeur cantonal qu'il a loi de dresser dés aujourd'hui les plans et devis d'un aspect très simple,
Nomme messieurs Brodet, Micaud, Chevallier, Chatelard.
A la séance du 19 mars 1922, monsieur l'adjoint dépose sur le bureau les plans et devis dressés par l'agent voyeur cantonal pour la construction du lavoir dans le prés acheté par la commine et l'invite à délibérer. ;
le conseil après discussion, dit qu'il y aliey de remettre à la prochaine séance la décison à prendre au sujet de la susdite construction.
A la séance du 6 juillet 1922, monsieur le maire donne lecture à l'assemblée du cahier des charges et du devis dressés par l'agent voyeur cantonal pour la construction d'un lavoir public et l'invite à délibérer.
Le conseil ; ouï lecture du devis, du cahier des charges dressés pour la construction d'un lavoir public ; vu les dessins des ouvrages. Après discussion : Considérant que la construction du susdit lavoir est réclamée depuis longtemps par la population, vote la somme de 17 000 francs qui sera inscrite au budget.
En septembre 1922, monsieur le maire fait part d'une requête de madame veuve Duc en date du 11 août 1922, intitulé comme :
"Monsieur le Maire
J'ai l'honneur de vous faire savoir pour que vous puissiez prendre vos dispositions en conséquence, que j'ai l'intention de m'opposer par tous les moyens légaux en mon pouvoir à la transformation et aux travaux du chemin de ma propriété, travaux nécessités par l'établissement du lavoir, si la commune ne me paie pas une juste indemnité ou ne m'achète pas le chemin. Dans ce dernier cas, je demanderai un franc par mètre.
Recevez, Monsieur le Maire, l'assurance de mes sentiments distingués. Signé : Veuve DUC"
Le conseil, ouï lecture de la lettre ci-dessus et les explications de son président et après discussion; dit qu'il y a lieu de consulter l'agent voyer qui est chargé de dresser un plan des lieux et de donner un avis sur la suite à donner de cette lettre.
Suite après les plans
Vers la fin de l'année 1920, suite à discussion en conseil municipal, sont nommés membres de la commission chargée d'étudier le projet d'un lavoir public messieurs Boisset, Chevallier et Robert.
Bien plus tard à la séance du 20 novembre 1921, et inscrit à l'ordre du jour, le maire Louis Carrier informe le conseil qu'il a reçu de Mr le Préfet un arrêté en date du 11 novembre 1921 approuvant la délibération du 24 juillet dernier par laquelle le conseil municipal à autoriser le maire à acquérir de madame veuve Carret, moyennant le prix de 5000 francs outre les charges une parcelle de terrain en vue de la construction d'un lavoir public.
Le 12 janvier 1922, monsieur le maire Louis Carrier informe le conseil que toutes les formalités relatives à l'achat du terrain appartenant à madame veuve Carret sont terminées et qu'il faut absolument construire en 1922 le lavoir réclamé par la population, qu'il y a lieu d'en faire dresser les plans et devis par monsieur Géranton, agent voyeur cantonal, qui connaît les lieux et invite l'assemblée à délibérer ;
Le conseil, après avoir entendu les explications de son président,
considérant que depuis longtemps la population du bourg réclame un lavoir public,
invite son président à écrire à monsieur l'agent voyeur cantonal qu'il a loi de dresser dés aujourd'hui les plans et devis d'un aspect très simple,
Nomme messieurs Brodet, Micaud, Chevallier, Chatelard.
A la séance du 19 mars 1922, monsieur l'adjoint dépose sur le bureau les plans et devis dressés par l'agent voyeur cantonal pour la construction du lavoir dans le prés acheté par la commine et l'invite à délibérer. ;
le conseil après discussion, dit qu'il y aliey de remettre à la prochaine séance la décison à prendre au sujet de la susdite construction.
A la séance du 6 juillet 1922, monsieur le maire donne lecture à l'assemblée du cahier des charges et du devis dressés par l'agent voyeur cantonal pour la construction d'un lavoir public et l'invite à délibérer.
Le conseil ; ouï lecture du devis, du cahier des charges dressés pour la construction d'un lavoir public ; vu les dessins des ouvrages. Après discussion : Considérant que la construction du susdit lavoir est réclamée depuis longtemps par la population, vote la somme de 17 000 francs qui sera inscrite au budget.
En septembre 1922, monsieur le maire fait part d'une requête de madame veuve Duc en date du 11 août 1922, intitulé comme :
"Monsieur le Maire
J'ai l'honneur de vous faire savoir pour que vous puissiez prendre vos dispositions en conséquence, que j'ai l'intention de m'opposer par tous les moyens légaux en mon pouvoir à la transformation et aux travaux du chemin de ma propriété, travaux nécessités par l'établissement du lavoir, si la commune ne me paie pas une juste indemnité ou ne m'achète pas le chemin. Dans ce dernier cas, je demanderai un franc par mètre.
Recevez, Monsieur le Maire, l'assurance de mes sentiments distingués. Signé : Veuve DUC"
Le conseil, ouï lecture de la lettre ci-dessus et les explications de son président et après discussion; dit qu'il y a lieu de consulter l'agent voyer qui est chargé de dresser un plan des lieux et de donner un avis sur la suite à donner de cette lettre.
Suite après les plans
( à suivre...)